Le taux de meurtres dans le monde est en hausse. Selon l’OMS, plus de 684 000 meurtres ont été commis dans le monde en 2016, soit 1,2 meurtre par minute. La plupart des meurtres sont commis dans des pays à faible et moyen revenu. L’Amérique latine et les Caraïbes comptent pour la moitié des meurtres dans le monde, avec un taux de meurtres de 27 pour 100 000 habitants. La région de l’Afrique sub-saharienne compte pour un tiers des meurtres dans le monde, avec un taux de meurtres de 9 pour 100 000 habitants.
En Afrique
L’Afrique est un continent qui compte plusieurs pays. Certains de ces pays sont en guerre, d’autres sont touchés par la pauvreté et la maladie. La plupart des africains vivent dans des conditions précaires et beaucoup sont victimes de violence.
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Le taux de meurtre est donc très élevé en Afrique. La plupart des meurtres sont commis à l’aide d’armes blanches, comme des couteaux ou des machetes. Les meurtres liés à la criminalité organisée sont également fréquents.
Les africains sont les victimes de la violence la plus meurtrière au monde. En effet, selon une étude publiée par l’Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE), en 2016, le taux de meurtre en Afrique était de 8,3 pour 100 000 habitants, soit plus de trois fois le taux mondial.
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Plusieurs facteurs expliquent ce taux élevé de violence en Afrique. Tout d’abord, la pauvreté est extrêmement répandue sur le continent. En effet, selon le dernier rapport du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), près de 60% des africains vivent avec moins de 2 dollars par jour. La pauvreté est un facteur important de la violence, car elle peut conduire à la frustration et à la colère, et favoriser la criminalité.
De plus, l’Afrique est touchée par plusieurs conflits armés. Selon le Centre international de recherche sur les conflits armés (CICR), il y a actuellement 11 conflits armés en Afrique. Ces conflits ont lieu principalement en raison du partage inégal des richesses du continent, du manque de démocratie et de l’instabilité politique. Ils entraînent souvent des violences et des massacres, et favorisent le trafic d’armes et la criminalité organisée.
Enfin, l’Afrique est touchée par plusieurs épidémies graves, comme le VIH/sida ou le Ebola. Ces épidémies tuent chaque année des milliers de personnes et affaiblissent les systèmes de santé et les economies des pays touchés. Elles contribuent également à la propagation de la violence, car elles peuvent entraîner la colère et la frustration chez les personnes affectées.
Ainsi, l’Afrique est le continent le plus meurtrier au monde. La pauvreté, les conflits armés et les épidémies sont les principaux facteurs de cette violence. Il est donc important que les africains bénéficient d’une aide internationale pour lutter contre ces facteurs et réduire la violence sur le continent.
En Amérique latine
En Amérique latine, le taux de meurtre est particulièrement élevé. Selon les chiffres de l’Organisation mondiale de la santé, on dénombre environ 30 000 meurtres par an dans la région, soit 10 % de l’ensemble des meurtres dans le monde. La plupart des pays d’Amérique latine connaissent des taux de meurtre supérieurs à la moyenne mondiale, avec notamment le Salvador, le Brésil et le Honduras qui figurent parmi les pays les plus dangereux au monde.
Plusieurs facteurs expliquent cette situation. Tout d’abord, la pauvreté et les inégalités sociales sont des facteurs déterminants du taux de criminalité. En Amérique latine, plus de 30 % de la population vit en dessous du seuil de pauvreté, ce qui favorise la prolifération des activités criminelles. En outre, les conflits armés et la violence politique ont également contribué à augmenter le nombre de meurtres dans la région. Enfin, l’absence d’une police efficace et l’insuffisance des systèmes judiciaires favorisent l’impunité, ce qui encourage les auteurs de meurtres à commettre de nouveaux crimes.
Face à cette situation, les gouvernements de plusieurs pays d’Amérique latine ont adopté des mesures visant à réduire le taux de criminalité. Ainsi, au Brésil, le gouvernement a mis en place un programme de pacification des favelas, qui a permis de réduire considérablement la violence dans les quartiers populaires. De même, au Salvador, le gouvernement a instauré une tolérance zéro envers les gangs, ce qui a également contribué à diminuer le nombre de meurtres. Malgré ces efforts, la situation reste préoccupante et il reste encore beaucoup à faire pour réduire le taux de criminalité en Amérique latine.
En Asie
Selon les données les plus récentes, l’Asie est le continent où il y a le plus de meurtres. La plupart des meurtres en Asie sont commis au sein de la famille ou entre amis. Les raisons principales de ces meurtres sont liées à la religion, à la politique ou à des différends familiaux. La criminalité organisée est également une cause importante de meurtres en Asie.
En Europe
En Europe, il y a plus de meurtres par armes à feu que dans le reste du monde. La plupart des meurtres sont commis par des hommes et les victimes sont souvent des jeunes hommes. Les meurtres sont généralement commis dans les quartiers défavorisés ou dans les zones rurales. La police estime que les meurtres sont souvent le résultat de la violence domestique.
En Océanie
L’Océanie est un continent composé de plusieurs îles situées dans le Pacifique Sud. C’est une région du monde qui connaît une forte criminalité, notamment en raison de la présence de gangs violents. Les meurtres y sont relativement fréquents et la plupart des victimes sont des jeunes hommes. La police a du mal à lutter contre cette criminalité et les autorités ont peu de moyens pour mettre fin à ces agissements.
Il semblerait que les endroits du globe où il y a le plus de meurtres soient les pays en guerre ou en proie à une grande violence. Les civils sont souvent les victimes innocentes de ces conflits et il est important de rappeler que la guerre n’est jamais la solution. Les organisations humanitaires et les médias doivent continuer à sensibiliser l’opinion publique sur ces drames et faire pression sur les gouvernements pour mettre fin à ces atrocités.